La vente à domicile a le vent en poupe. Après une hausse de 4 % en 2017 (contre 3 % les précédentes années), le cabinet Xerfi, qui a publié une étude sur le sujet, estime à 5 % par an la hausse du chiffre d'affaires des entreprises de son panel à l'horizon 2020. La vente directe pèse 17 milliards d'euros en Allemagne, championne en la matière.
Grandes enseignes
En comparaison, la France a un « retard considérable » à rattraper, estime-t-on à la Fédération française de la vente directe (FVD). « Aujourd'hui, ce secteur ne concerne plus seulement la ménagère, elle vise également les hommes et aussi les jeunes ou les retraités », estime Jacques Cosnefroy, son délégué général.
Comme le montre l'étude Xerfi, l'avenir de la vente à domicile réside dans le multicanal et la digitalisation. Vorwerck vient d'ouvrir une boutique à Paris, où son taux de pénétration n'est que de 2 %, contre 10 à 11 % dans l'ensemble de la France. La vente à domicile apparaît aussi comme un complément pour de grandes enseignes, à la tête de réseaux historiques de magasins, comme Phildar, qui a lancé des « ateliers tricot ». Ou Yves Rocher qui vient de racheter Arbonne International, une société de vente directe américaine de cosmétiques naturels qui pèse 470 millions d'euros. Ou encore Bonduelle, qui, depuis 2015, teste de nouveaux produits en vente à domicile.
Réunions « digitales »
Les acteurs de la grande distribution trouvent dans ce canal un moyen de sauver emplois et outils de production. « Le multicanal deviendra une des forces de la distribution » , pronostique Jacques Cosnefroy. La FVD réunit aujourd'hui 140 enseignes pour 6.000 entreprises, réalisant 4,5 milliards de chiffre d'affaires par an et totalisant 650.000 emplois. Sur cet effectif, 60.000 sont en production, dans les usines des adhérents, mais le gros des troupes est constitué des vendeurs à domicile, dont 40 % sont à temps plein.
La digitalisation est l'autre axe d'avenir du secteur. VIP Domotec France a commencé dans les années 1990 par faire tester entre amies, dans des ateliers, ses chiffons microfibres. « La vente directe s'imposait : personne ne connaissait notre produit, il fallait aller l'expliquer. Il n'y a rien de plus puissant qu'une personne convaincue qui le recommande à ses amis » , assure Pierre Simonnet, le cofondateur de l'entreprise. La société emploie aujourd'hui 300 vendeurs actifs, des « conseillères de vente » façon Tupperware qui totalisent un chiffre d'affaires de 3 millions d'euros. Après avoir proposé le paiement par mobile, certaines se lancent dans des réunions « digitales » de type Skype. La digitalisation permet de relayer les expériences « maison » par les réseaux sociaux, l'e-commerce, mais aussi via des points de vente.
C'est un nid à microbes insoupçonné. Toujours à proximité, dans la poche, la main, sous l'oreiller, notre téléphone portable ne nous quitte jamais. D'après une étude de l'Université de Manchester, le combiné téléphonique contiendrait cinq cent fois plus de bactéries... qu'un siège de toillettes!
"Le mobile, manipulé par des mains pas toujours propres, comporte d'avantage de bactéries de peau que n'importe quel objet, à cause de la chaleur générée par le téléphone, parfaite pour leur développement. Ces bactéries sont gardées bien au chaud dans nos sacs et nos poches", décrivent les chercheurs dans Le Parisien . Escherichia Coli, salmonelles, streptocoques, staphylocoques dorés... C'est un véritable bestiaire version microscopique qui se balade en permanence sur votre téléphone.
Produite en chaudière à environ 175° et à 8 bars, elle est disponible de 130°à 140°C à la sortie de l'accessoire avec une vapeur très peu humide entre 5 et 7%, et appliquée à des débits de 3 à 3000 kg/h.
Le taux d’humidité de la vapeur sèche est l'élément le plus important à maitriser.
Plus la vapeur contient de l’eau moins elle est efficace du point de vue énergétique car elle transporte et cède moins de chaleur qu’une vapeur dite « sèche ». La vapeur humide est donc plus dangereuse car le risque de brûlure est important pour les utilisateurs.
La vapeur sèche contient moins de 7 % d'eau et n'est pas dangereuse. On peut la toucher sans risque de brûlure (à plus de 1 cm de la sortie de buse)
Le séchage est très rapide du fait du peu d'humidité employée et de la température importante qui accélère l'évaporation.
Les minéraux et calcaires restent confinés en chaudière supprimant ainsi la résistivité (conductivité électrique) du jet vapeur.
AVANTAGES
Le procédé est écologique, économique, respectueux des personnes et de l'environnement
La vapeur sèche permet de travailler des surfaces complexes, surfaces planes, interstices, joints, roulements...comme par exemple une voiture
La vapeur sèche permet de nettoyer sur des surfaces encombrées.
Pas de risque de corrosion car le séchage des surfaces est très rapide.
La vapeur sèche permet le nettoyage de certains équipements électriques mis hors tension ou à proximité d'équipements sous tension.
Plus la surface est complexe, plus le nettoyage est rapide par rapport à un système traditionnel.
La vapeur est très efficace sur la graisse, les chewin gum les bio-films, les moisissures...idéal en cuisine
Pouvoir bactéricide, levuricide et désinfectant à 1 cm de la surface (130°), très apprécié en milieu hospitalier
Une économie considérable de la consommation d'eau.
Le nettoyage vapeur supprime pratiquement complètement l'utilisation de produits chimiques.
source hypronet.fr (spécialiste du nettoyage)